Eddy c'est un Crocodile Dundee grandeur nature, pour qui se retrouver en situation de survie s'apparente à des vacances... Passionné de chasse il lui fallait bien un couteau digne de ce nom, (un couteau ça?!? ÇA c'est un couteau!) Eddy forge donc ses propres couteaux, des pièces magnifiques forgées avec qualité, qu'il commercialise. Au fil de la lame nous l'avons observé. 

Après Tintin sur la lune c'est Oscar à Kourou... Un tantinet déçu par la taille d'Ariane qui ne touche pas le ciel! Tout de même Ariane c'est 50,5m de haut, qui n'ont rien à envier au damier rouge et blanc de Tintin! Monstre de technologie, Ariane se dresse vers le ciel; Nous retenons notre respiration, nos yeux d'enfants rivés sur le pas de tire...

La crique Gabriel est une rivière qui serpente et se perd dans l'immensité de l’Amazonie et que l'on peut remonter (pour les plus courageux en canoë avec le courant) où en annexe. Nous voici donc en mode immersion pour une approche du fleuve et de la forêt guyanaise. 

Sur les traces des tortues marines, notre expédition armé de lampes frontales et pique-nique s'organise, sur la plage embrasée sous le rayonnement d'une lune bien rebondie.

Le temps d'un déjeuner nous découvrons les populations Hmongs du village de Cacao, un peuple originaire d’Asie, son petit marché du Dimanche à l'atmosphère pittoresque et le centre Le Planeur Bleu, Musée Des Insectes extraordinaires, histoire de se familiariser avec les mygales!

Les Paresseux tout sourire, les  fourmiliers par millier, les tamanoirs d'un soir...

Ici il y a deux type de plaisancier : 
Au mouillage les bateaux de passage.
Au ponton les bateaux locaux... 
Ces derniers arrivés dans un dernier souffle, bien souvent empaquetés sous d'énormes bâches, végètent, désarmés, ils squattent les 2 seuls pontons depuis un, cinq ou dix ans!

Une chance inouïe nous sourit à notre arrivée sur Dégrad des Cannes : Une place aux mesures de Milo nous fait de l'œil sous la pleine lune dans cette marina surpeuplée de bateaux arrimés à l'année, squattée... 

Un groupe de baleines batifolent dans notre sillage, elles sont à moins de 10 mètres de la jupe arrière, ENORMES!

Nous repassons l'équateur, cette ligne imaginaire entre les deux hémisphères où les marins boivent le champagne et fêtent Neptune par des offrandes pour des navigations encore belles et sereines. Et sur Milo, ils font quoi?

Les 7 jours envisagés à profiter de ce décor de rêve fondent comme neige au soleil à mesure exponentiellement inverse que le sable augmente sur le pont... On bouffe du sable! 

Nos pas s'enfouissent sous cette poudreuse légère, dont nos empruntes sont aussitôt recouvertes. Les courbes généreuses et changeantes, tantôt ondulé, volatile ou humide des paysages variés de sable et d'eau se dessinent, colline après colline après colline, l'esprit de vagabonde. L'impression d'être seul au monde …