Coincée sur cette petite île, les singapouriens sont bien vite confrontés à de nombreuses questions à commencer par celle de l’encombrement . L’encombrement des bâtiments, ou l’encombrement des voitures… Il n’y a pas l’ombre d’un mendiant dans les rues, un taux de chômage inférieur à 4% les transports en commun sont fiables, les espaces verts abondent, et la circulation est fluide. Mais comment font ils? petit indice: Il y a des caméras partout! Singapour est régi par un régime démocratique-autoritaire avec la même famille au pouvoir depuis l'indépendance et à sa tête le charismatique Lee Kuan Yew. La rigueur est perceptible de partout et ca marche (enfin à cette échelle)! A chaque problème une solution… toujours draconienne! Ici, l’ordre, la propreté et le travail sont les vertus cardinales.
Démonstration
- Les bâtiments de plus de 20 ans, (considérés comme obsolètes) sont détruits!!! place au nouveaux projets! “Depuis son indépendance en 1965, Singapour engage des architectes de renommée mondiale pour affirmer son image de centre d’affaires et de cité culturelle. Les prouesses des bâtisseurs symbolisent sa prospérité. Dès 1970, Singapour érige de superbes gratte-ciels pour s’affirmer en tant que centre d’affaires de l’Asie. La cité-état se lance dans la course à la grandeur avec des immeubles d’architectes réputés, tels I.M. Pei et Kenzo Tange. Pari gagné en 1986 avec la tour Overseas Union Bank Centre qui, du haut de ses 280 m